Le poème d’Asta

Les fans continuent de m’écrire des poèmes… comme en 1998

Perdu en ce lieu virtuel

J’arpente tes secrets

Les lignes de ton passé

D’un voyeurisme cruel

Que n’a tu inventé

Pour propager ton mal-être

Et dans l’étang peut être

Avec toi nous noyer

Au cri de ta peine

Le néant se repend

Te voici en veine

De nos pas errant

Les yeux sur mon écran

La main dans tes entrailles

Coeur codé ou vibrant

Mouchette au poitrail

Asta


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